Vous rêvez de planter un théier dans votre jardin et vous vous demandez si les conditions pour la culture du thé en France métropolitaine sont idéales ? La réponse est non. Le thé a besoin de chaleur, d’humidité et de pluies abondantes. Trois éléments que le climat hexagonal ne comporte pas ou du moins pas en même temps ni à la même période. Nous nous trouvons en effet dans un climat tempéré à quatre saisons qui convient bien aux fraises ou aux pommes mais que le Caméllia Sinensis n’apprécie guère. Ce dernier est bien plus à l’aise sur une montagne indienne ou dans les hauts plateaux de Chine. Voici pourquoi.

Un arbuste originaire de Chine

Le théier est cultivé en Chine depuis des milliers d’années. Il se développe dans les régions où les conditions pour la culture du thé sont favorables comme la région de Chengdu ou la région de Wuhan. Les autres places fortes de cette boisson énergisante et antioxydante sont l’Inde, le Sri Lanka, le Vietnam ou même la Tanzanie. C’est à l’époque de la colonisation que ces territoires ont été utilisés pour cette activité. Les Anglais étaient notamment de grands propagateurs de thé, séduits par son rendement commercial supérieur à la moyenne. Cette plante peut en effet être récoltée jusqu’à quatre fois par an ce qui permet une production importante. Un théier met presque quatre ans à être mature mais fournit ensuite de la matière consommable sur le long terme à partir du moment où il est taillé correctement et dans le bon timing. Seules les deux premières feuilles et les bourgeons sont ramassés mais la quantité obtenue chaque année dans une exploitation ordinaire demeure tout de même largement satisfaisante.

Les principaux besoins du thé

Afin de donner des feuilles de qualité qui seront plus ou moins oxydées en fonction de la variété désirée, le théier a des besoins très spécifiques uniquement réunis dans les climats tropicaux ou équatoriaux. Une combinaison de facteurs complexes dont voici le détail.

Une chaleur modérée et constante

La température idéale pour une bonne croissance de la plante se situe entre 19 et 21 degrés. En dessous de 15 et au-dessus de 30, le processus est perturbé voir totalement stoppé. Il est d’autre part très contreproductif que cette dernière subisse des variations brutales. Une région où le thermomètre reste bloqué aux alentours de 20 tout au long de l’année est un paradis pour les touristes en quête de soleil mais aussi pour le thé.

Des précipitations abondantes et régulières

Le Camellia Sinensis est un grand consommateur d’eau. IL en réclame sans cesse au cours de son cycle de vie dans de fortes proportions. Les moussons qui apparaissent entre avril et octobre dans certains pays asiatiques sont le phénomène climatique parfait pour cet aspect précis. En revanche, il ne supporte pas les eaux stagnantes ce qui explique pourquoi on le retrouve généralement sur les flancs pentus des montagnes. Cette localisation permet une évacuation rapide des précipitations.

Un taux d’humidité élevé

Le second aspect qui caractérise des zones comme le sous-continent indien ou l’Asie du Sud-Est est le taux d’humidité dans l’air au-dessus de la moyenne. En France, cette donnée se maintient par exemple entre 50 et 70 % en fonction des saisons tandis qu’elle est plutôt de 80 à 100 % dans les contrées orientales où le thé pousse abondamment.

Une protection contre les rayons du soleil

Il est courant de planter des arbres hauts tout autour des jardins de thé afin d’offrir de l’ombre aux théiers qu’ils contiennent. Ces abris végétaux se révèlent particulièrement utiles pendant les périodes de fortes chaleurs. Les cultivateurs présents sur place sont également ravis d’échapper à une exposition prolongée à un soleil brûlant peu amical.

Un sol acide et perméable

La dernière donnée à prendre en compte lorsque l’on recherche à obtenir des conditions pour la culture du thé optimales est la composition du sol. Les meilleurs types sont ici le sol volcanique ou le sol sédimentaire rocheux car ils favorisent une bonne circulation des eaux et ne sont pas trop calcaires.

Dans quelle mesure les conditions pour la culture du thé sont-elles déterminantes ?

Lorsqu’un thé est dit premium ou de qualité supérieure, ce qui fait toute la différence est la manière de le récolter puis de le sécher mais aussi de soigner son développement. Les thés verts de Tanzanie ou les thés noirs Darjeeling ainsi que l’ensemble des autres variétés biologiques que nous commercialisons répondent précisément à cette triple exigence. Plantés en altitude entre 1000 et 2500 mètres dans des pays tropicaux afin de bénéficier de l’ensemble des impératifs mentionnés ci-dessus, ils sont ensuite travaillés à la main et affinés avec minutie. Passionnés de cette plante aux multiples vertus, nous sommes très attachés à ce cahier des charges extrêmement complet que nous estimons indispensable pour vous offrir des feuilles savoureuses et chargées en principes actifs bénéfiques pour votre santé.

Vous rêvez de planter un théier dans votre jardin et vous vous demandez si les conditions pour la culture du thé en France métropolitaine sont idéales ? La réponse est non. Le thé a besoin de chaleur, d’humidité et de pluies abondantes. Trois éléments que le climat hexagonal ne comporte pas ou du moins pas en même temps ni à la même période. Nous nous trouvons en effet dans un climat tempéré à quatre saisons qui convient bien aux fraises ou aux pommes mais que le Caméllia Sinensis n’apprécie guère. Ce dernier est bien plus à l’aise sur une montagne indienne ou dans les hauts plateaux de Chine. Voici pourquoi.

Un arbuste originaire de Chine

Le théier est cultivé en Chine depuis des milliers d’années. Il se développe dans les régions où les conditions pour la culture du thé sont favorables comme la région de Chengdu ou la région de Wuhan. Les autres places fortes de cette boisson énergisante et antioxydante sont l’Inde, le Sri Lanka, le Vietnam ou même la Tanzanie. C’est à l’époque de la colonisation que ces territoires ont été utilisés pour cette activité. Les Anglais étaient notamment de grands propagateurs de thé, séduits par son rendement commercial supérieur à la moyenne. Cette plante peut en effet être récoltée jusqu’à quatre fois par an ce qui permet une production importante. Un théier met presque quatre ans à être mature mais fournit ensuite de la matière consommable sur le long terme à partir du moment où il est taillé correctement et dans le bon timing. Seules les deux premières feuilles et les bourgeons sont ramassés mais la quantité obtenue chaque année dans une exploitation ordinaire demeure tout de même largement satisfaisante.

Les principaux besoins du thé

Afin de donner des feuilles de qualité qui seront plus ou moins oxydées en fonction de la variété désirée, le théier a des besoins très spécifiques uniquement réunis dans les climats tropicaux ou équatoriaux. Une combinaison de facteurs complexes dont voici le détail.

Une chaleur modérée et constante

La température idéale pour une bonne croissance de la plante se situe entre 19 et 21 degrés. En dessous de 15 et au-dessus de 30, le processus est perturbé voir totalement stoppé. Il est d’autre part très contreproductif que cette dernière subisse des variations brutales. Une région où le thermomètre reste bloqué aux alentours de 20 tout au long de l’année est un paradis pour les touristes en quête de soleil mais aussi pour le thé.

Des précipitations abondantes et régulières

Le Camellia Sinensis est un grand consommateur d’eau. IL en réclame sans cesse au cours de son cycle de vie dans de fortes proportions. Les moussons qui apparaissent entre avril et octobre dans certains pays asiatiques sont le phénomène climatique parfait pour cet aspect précis. En revanche, il ne supporte pas les eaux stagnantes ce qui explique pourquoi on le retrouve généralement sur les flancs pentus des montagnes. Cette localisation permet une évacuation rapide des précipitations.

Un taux d’humidité élevé

Le second aspect qui caractérise des zones comme le sous-continent indien ou l’Asie du Sud-Est est le taux d’humidité dans l’air au-dessus de la moyenne. En France, cette donnée se maintient par exemple entre 50 et 70 % en fonction des saisons tandis qu’elle est plutôt de 80 à 100 % dans les contrées orientales où le thé pousse abondamment.

Une protection contre les rayons du soleil

Il est courant de planter des arbres hauts tout autour des jardins de thé afin d’offrir de l’ombre aux théiers qu’ils contiennent. Ces abris végétaux se révèlent particulièrement utiles pendant les périodes de fortes chaleurs. Les cultivateurs présents sur place sont également ravis d’échapper à une exposition prolongée à un soleil brûlant peu amical.

Un sol acide et perméable

La dernière donnée à prendre en compte lorsque l’on recherche à obtenir des conditions pour la culture du thé optimales est la composition du sol. Les meilleurs types sont ici le sol volcanique ou le sol sédimentaire rocheux car ils favorisent une bonne circulation des eaux et ne sont pas trop calcaires.

Dans quelle mesure les conditions pour la culture du thé sont-elles déterminantes ?

Lorsqu’un thé est dit premium ou de qualité supérieure, ce qui fait toute la différence est la manière de le récolter puis de le sécher mais aussi de soigner son développement. Les thés verts de Tanzanie ou les thés noirs Darjeeling ainsi que l’ensemble des autres variétés biologiques que nous commercialisons répondent précisément à cette triple exigence. Plantés en altitude entre 1000 et 2500 mètres dans des pays tropicaux afin de bénéficier de l’ensemble des impératifs mentionnés ci-dessus, ils sont ensuite travaillés à la main et affinés avec minutie. Passionnés de cette plante aux multiples vertus, nous sommes très attachés à ce cahier des charges extrêmement complet que nous estimons indispensable pour vous offrir des feuilles savoureuses et chargées en principes actifs bénéfiques pour votre santé.

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